And now, I REALLY go to sleep
Hier, figurez-vous que j'ai vu aux informations que les cambrioleurs raffolaient de Facebook, particulièrement en été, parce que tout le monde y annonce son départ imminent en vacances, et sa probable date de retour...
Tant de jours pour que certains esprits malhonnêtes vous repèrent, et viennent visiter votre appartement (ou votre maison, bande de chanceux) afin de vous délester de quelques objets de valeur.
...
J'espère que cette information de première qualité finira par rendre totalement paranoïaques ceux qui ne l'étaient pas encore.
Cette petite introduction n'est qu'une anecdote pour vous spécifier mon retour (je fais parfois preuve d'une éloquence qui m'émeut particulièrement). Soit. En toute logique, c'est le moment opportun pour reprendre un rythme un peu plus soutenu par ici, pour vous raconter mes visites trépidantes (j'ai tenu une heure dans un musée. Pas plus) et mes folles soirées (je ne sais pas si vous avez déjà dû mimer Lady Di (parfaitement) dans votre vie, mais sachez que ce n'est pas évident), ou pour éventuellement vous faire part de mes lectures (raté, je suis sur le même roman depuis 18 jours, et je n'ai rien lu d'autre) (ah si, mais en fait, non), mais j'ai finalement décidé de fermer les rideaux quelques jours, afin de récupérer un peu d'énergie tant que c'est encore possible. Visuellement, à l'heure actuelle, je ressemble au gilet-serpillère que Thérèse offre à Pierre Mortez pour lui souhaiter un joyeux Noël (je vous laisse deviner tout seul d'où sort cette merveilleuse référence culturelle).
Pour ne pas vous laisser entièrement démunis, je vous invite à admirer le dessin qui orne ce billet; il est d'Agnès Brontë, c'est une petite douceur que j'ai découverte grâce à une amie.
Pour terminer, quelques plages musicales qui synthétisent un peu mon été; oui, il y a un intrus dedans, mais c'est plus fort que moi, j'ai mauvais goût, un point c'est tout.
J'aime énormément Sia, que je n'ai découverte que récemment, tenez, je vous ajoute même sa reprise d'I go to sleep, qui sonne très joliment, non ?
Quant à Michael Jackson, nous sommes deux à savoir pourquoi ce titre se trouve là, et cela me paraît bien suffisant.
A lundi prochain !